lundi 21 janvier 2008

Le Sang

S’il existe des liens invisibles entre deux personnes alors je certifie que c'est la pure vérité.
Ayant toujours été accompagnez dans ma vie par cette personne très près de moi et encore actuellement, jusqu'au moment où la flamme de nos vies s'éteindra.

À l'affût de mes sentiments si moindrement mortifier, sans le besoin d'ouvrir la bouche pour laisser la place aux mots, ce personnage a été la premièr que j'ai rencontrer dans ce monde; pour tout dire, la première que j'ai dû tout partager pour subsister ensemble.

Dominic, grand frère de nos sangs, premier jumeau de la lignée de notre famille.


Grand débonnaire avec l'âme d'un bohème, en symbiose avec la nature et ses décors de vert pâturage, il tire ces forces dans les paysages que bien beaucoup voient d'un oeil lasser.
Respecté par ses comparses, soucieux de leurs égards, appliqué pour soutenir son prochain.
Combinant la polyvalence et la curiosité de toucher à tout de ses doigts; il arrive à s'émerveiller devant une innovation naquit de ses grandes capacités.


Défois, j'éprouve une désolation profonde que j'enfouis au plus profond de ma personne, ceci ne lui échappe pas et sans aucun geste ni aucun mot, il partage ma peine avec moi comme s’il la vivait juste en étant prêt de moi.


Beaucoup de gens, laissaient supposer que nous avions le don de la télépathie, car nous sommes jumeaux identique, moi je crois seulement que je suis combiné à lui et lui à moi à notre naissance.


L'humain peut avoir n'importe quel "don" qui se raccorde à son attachement pour quelque chose de précieux à ces yeux et moi c'est mon "grand" frère Dominic.


Être pareil physiquement avait son utilité dans notre jeunesse: je me souviens du temps de la maternelle, c'était très bizarre, car mon frère y allait le matin et moi l'après-midi... pourquoi?
Je n'en sais trop rien; possiblement qu'on ne voulait pas avoir deux jumeaux dans la même classe...


Donc une journée comme les autres on a eu l'idée farfelue d'échanger nos places respectives de notre classe et faire semblant d'être l'un et l'autre.

Seulement notre enseignante et quelques élèves ne nous reconnurent du tout, mais la plupart m'avaient démasqué, pourtant nous avions pri la prévenance d'échanger nos vêtements avec soin.


Comme quoi même si l'on se ressemble comme le reflet d'un miroir, on reste une seule et unique entité.





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